vendredi 15 novembre 2019

Les uns rient... les autres pleurent encore


Bonne nouvelle: l'unité 1 de chauffage climatisation desservant les étages inférieurs (RdJ, RdC, 1er) fonctionne à nouveau.
Mauvaise nouvelle: la moitié seulement des appartements a pu être raccordée.
Comme annoncé, un RV avait été pris ce vendredi à 11 heures entre un électricien et le technicien Panasonic. Il s'agissait de couper le courant dans tout l'immeuble pour réinitialiser l'ensemble du système. Malheureusement l'électricien a refusé d'effectuer cette coupure qui semble interdite par la loi sauf en cas de force majeure. Rester sans chauffage en plein mois de novembre semblait bien être un cas de force majeure mais il fallait obtenir des autorisations administratives qui allaient forcément demander beaucoup de temps.
En désespoir de cause, le technicien a entrepris la manoeuvre de la dernière chance: intervenir sur les commandes individuelles situées dans les appartements afin d'entrer dans la programmation. A la suite d'un bug d'origine indéterminée (mais c'est la nature même du bug!), le système interdisait en effet de basculer en mode chauffage.
Pour effectuer l'opération, encore fallait-il que les occupants fussent présents!
En définitive, une moitié environ des appartements bénéficie à nouveau du chauffage.
Pour les autres, il faudra malheureusement encore un peu attendre.
Le technicien Panasonic communiquera lundi un nouveau RV pour le courant de la semaine prochaine.
Sont concernés les appartements 901 à 904, 02 et 04, 101, 103, 104.
Les occupants seront priés de prendre leurs dispositions, soit en étant présents, soit en confiant leur clef à une personne de confiance. L'intervention en elle-même ne prend que quelques minutes mais il est indispensable d'accéder à la télécommande.

jeudi 14 novembre 2019

Toujours pas de fumée blanche!


Le technicien Panasonic est intervenu ce jeudi 14 novembre. Après plus de 5 heures d’efforts  et de manipulations diverses avec le concours de la hot line de Panasonic, il a fallu se rendre à l’évidence : l’unité 1 refuse toujours de passer en mode chauffage alors qu’elle fonctionne parfaitement en froid et ventilation.
Il y a un bug informatique pour l’instant introuvable. Il y a de fortes chances qu’il se soit produit dans l’une des installations privées.
Dans ce genre de circonstances, et compte tenu des échecs enregistrés lors des manipulations classiques, la seule solution est de couper le courant dans tous les appartements concernés (à savoir RDJ, RDC et 1er étage). Malheureusement certains des appartements sont occupés par des résidents actuellement absents et dont personne n’a les clefs.
Il faudra donc intervenir sur l’alimentation générale en électricité de l’immeuble et procéder à cette coupure.
Le syndic a contacté une entreprise susceptible de le faire. Celle-ci doit convenir d’un rendez-vous avec le technicien Panasonic qui devra être sur place car une seule coupure ne sera peut-être pas suffisante.
On en est là.
Cet incident et la difficulté à le résoudre confirme ce qui avait été écrit dans le précédent post : il sera nécessaire de déporter l’arrivée électrique commandant la climatisation dans chaque appartement (elle est actuellement dans le placard électrique) vers le placard technique dans les coursives de chaque étage où elles seront ainsi accessibles  à tout moment. Un devis en ce sens va être établi par l’entreprise Noaro. Suivant son importance, il sera présenté en AG courant juin.

vendredi 8 novembre 2019

Le casse-tête du chauffage

Les résidents du Rez de Jardin, du Rez de Chaussée et du 1er étage devront donc attendre jusqu'au mardi 12 novembre pour avoir - enfin - du chauffage. Au moins jusqu'au 12 novembre.
Bref résumé de la situation.
Le Conseil Syndical avait demandé à l'entreprise Noaro de basculer les deux unités en mode chauffage et l'opération - qui n'a jamais posé de problèmes les précédentes années - avait été programmée le jeudi 31 octobre. Cela a été fait pour l'unité 2 (1er et 2ème étages) mais s'est révélé impossible pour l'unité 1 sur laquelle les techniciens Noaro ont travaillé quasiment toute la journée.
Le problème relevant très vraisemblablement du bug informatique - rappelons que le moteur et la carte-mère ont été changés récemment sur ces unités - il a donc été fait appel à un technicien PANASONIC (la marque de l'installation).
Celui-ci est venu le mardi 5 Novembre mais a, à son tour, échoué.
Il convient toutefois de préciser que ce technicien n'est pas "estampillé" PANASONIC. Il appartient à une société délégataire de services faisant en quelque sorte office de Service Après Vente de PANASONIC. Il n'était donc pas équipé de l'ordinateur qui aurait pu lui permettre de pénétrer dans le système et d'éliminer le bug.
Depuis, les responsables de l'entreprise NOARO - et plus particulièrement le directeur des relations M. Philippe SEVAL - ont multiplié les démarches auprès de PANASONIC mais se sont heurtés, sinon à un mur, du moins à un muret.
Au final, un autre technicien pourrait avoir la clef de l'énigme. Problème: il est actuellement en vacances et ne rentre que mardi! Il faut espérer qu'il prendra conscience de l'urgence de la situation et se déplacera à Roquebrune Cap-Martin dans les plus brefs délais. Ce n'est malheureusement pas une certitude absolue.
Ce vendredi 8 novembre, à la demande du Conseil Syndical, un technicien NOARO est à nouveau revenu sur site pour tenter diverses manipulations. A nouveau en vain.
Les résidents qui ont emménagé dès la livraison de l'immeuble fin mai 2015 savent que l'on a eu de nombreux problèmes avec cette installation de chauffage-climatisation pour une raison toute simple: elle n'est pas adaptée à une structure de logements et est plutôt destinée à des bâtiments à usage de bureaux. Il faut malheureusement faire avec.
Il apparaît quasiment impossible d'envisager, comme l'ont suggéré certains copropriétaires, de  changer l'installation... la dépense risquerait d'être démesurée car il faudrait probablement changer également les unités intérieures de chaque appartement!
Le Conseil Syndical a d'ores et déjà demandé une étude pour quelques travaux simples qui permettraient d'améliorer la situation. Mais cela viendra après!
En attendant, patience. Il n'y a malheureusement plus grand chose à faire.

samedi 26 janvier 2019

Conseil Syndical... et Linky!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Le Conseil Syndical, plus exactement le demi-conseil syndical (2/4) a tenu une réunion ce jeudi avec notre syndic afin de faire le point sur un certain nombre de dossiers.

Commençons par la mauvaise nouvelle : la panne survenue sur l’une des deux unités de chauffage-climatisation (celle desservant les étages RDJ, RDC et 1er) en tout début d’année.  
Le devis établi par les établissements Noaro dépasse allègrement les 4.000 Euros entre remplacement du moteur, de la carte-mère et… de la porte d’entrée du local (au -1).
La panne semble en effet provenir d’un manque de circulation d’air ayant entraîné une surchauffe à une époque où, du fait du froid – et sans doute aussi d’une plus grande fréquentation de l’immeuble – l’appareil était fortement sollicité. Ce défaut avait d’ailleurs été pointé depuis un certain temps.
Une réparation provisoire a été effectuée et la porte a été enlevée (d’où, d’ailleurs, une nuisance sonore assez perceptible par certains copropriétaires).
Grâce au syndic, on devrait pouvoir faire sensiblement baisser la note en ce qui concerne la porte. Nous avons RV ce lundi avec un ferronnier italien à ce propos.
Un nouveau devis va donc être demandé à Noaro sans la porte.
D’un point de vue comptable, on pourrait peut-être imputer la réparation du moteur sur l’exercice en cours qui s’achève au 31 mars et le changement de la porte sur l’exercice suivant. A voir.

Quoi qu’il en soit, et malgré ce gros coup dur financier, le budget prévu devrait être tenu. Ce qui veut dire pas de charges « complémentaires » comme cela a été le cas lors des trois premiers exercices.
Ceci confirme ce qui avait été dit lors de la dernière Assemblée Générale : on peut estimer que le budget se situera désormais aux alentours de 55.000 Euros, sauf évidemment grosse catastrophe. Et il sera certainement difficile, voire impossible, de le faire beaucoup baisser en raison de dépenses incompressibles. Les différents contrats de maintenance (production d’eau chaude, chauffage climatisation, Piscine, ascenseur, portail, etc…) et de services (entretien de l’immeuble, espaces verts) sans oublier les assurances et le syndic représentent quasiment la moitié des dépenses. Je rappelle que, grâce aux efforts de plusieurs copropriétaires, certains de ces contrats ont été revus à la baisse en changeant de prestataires.
Comme j’ai eu l’occasion de vous le dire en cours d’exercice, le bon fonctionnement d’Heliopac (production d’eau chaude par panneaux solaires) va nous permettre de faire sensiblement baisser la note EDF.
* * *
Toujours au chapitre des économies potentielles, une réunion va être programmée avec un plombier afin de résoudre définitivement  le problème de l’arrosage. Du fait d’un réseau pour le moins complexe (au moins deux circuits, sans doute trois, peut-être quatre !), nous ne bénéficions pas encore à plein de la pose d’un compteur enregistrant les consommations. Rappelons que l’eau d’arrosage est facturée à demi-tarif et qu’il a fallu attendre la fin du premier exercice pour s’apercevoir que l’installation d’un compteur spécifique, prévue dans le contrat de construction signé par le promoteur, n’avait pas été faite. D’où une première facture assez pharaonique (près de 10.000 Euros).  Dès l’automne, au moins deux des circuits répertoriés ont été coupés. Il y en a vraisemblablement un troisième desservant le jardin (inaccessible !!!) situé côté Maison de Retraite. Nous n’en avons pas encore la maîtrise mais il ne semble plus fonctionner du fait que la pile du programmateur est sans doute morte depuis longtemps. Tout ceci sera vérifié.
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Comme vous avez pu le constater, un des éléments décoratifs de la façade s’est détaché et s’est écrasé sur le trottoir. Une réunion d’expertise est prévue le 5 février pour essayer de faire intervenir l’assurance Dommage Ouvrages. En général, celle-ci ne prend pas en compte les aspects purement décoratifs (ou jugés comme tel). Notre point de vue est que ces plaques de (faux) marbre représentent un danger. Imaginons un enfant (ou un animal) écrasé… Il conviendra donc – aussi - d’améliorer le système d’attache de l’ensemble des plaques qui sont, pour l’instant, simplement « collées ». Je rappelle que c’est la deuxième à s’effondrer.
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Voici quelques semaines, la personne occupant un appartement d’angle en rez de jardin (face à la piscine) a eu la très désagréable surprise, en levant le store, de se trouver nez à nez, en pleine nuit, avec un inconnu. Par bonheur, celui-ci ne s’est pas montré agressif et a tourné les talons.
Nous avons rappelé au Syndic que le grillage nous séparant de l’immeuble voisin le long du chemin d’accès de la piscine était détérioré et ne constituait pas un véritable obstacle. Après moult péripéties, ce grillage devrait – enfin – être réparé. Ceci ne garantira évidemment pas la fin de ce genre d’intrusions car, malheureusement, on peut passer relativement facilement en escaladant le mur du petit local inutilisé à proximité du portail.
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Le Syndic a fourni à l’entreprise Noaro les plans de distribution de la VMC afin de résoudre l’absence de ventilation dans les caves du RDJ. Le problème a été règlé pour celles du -1.

Linky or not Linky

Reste enfin à évoquer le changement de compteurs électriques au profit d’appareils de nouvelle génération dits « Linky ».
La plupart des copropriétaires sont harcelés depuis quelques semaines par l’entreprise chargée de procéder à ce remplacement.
Je vous joins trois liens qui permettront à chacune et chacun d’entre vous de se faire une opinion.
Le syndic, quant à lui, n’en a pas et mon sentiment personnel est que, d’une manière ou d’une autre, nous serons contraints d’accepter.


L’idéal serait toutefois de prévoir une installation groupée, étalée sur une semaine, dans une période où l’on n’aura besoin ni de chauffage, ni de climatisation. Il faut en effet tenir compte de la « spécificité » de notre installation de chauffage climatisation. La coupure de courant nécessaire à l’installation du nouveau compteur risque de déconnecter les appartements de la centrale, nécessitant donc une intervention de Noaro.

Je préconise quant à moi que l’on prévoit une installation pour TOUS les résidents dans une période déterminée. Sachant que les vacances scolaires vont du 6 au 21 avril, on pourrait demander la semaine du 25 au 29 mars ou la semaine du 1er au 5 avril ou celle du 22 au 26.
Le conseil syndical se tient à votre disposition pour déterminer la date convenant à un maximum de personnes.


samedi 11 août 2018

La saga de l'EAU


Jean-Paul G.,l’architecte qui a conçu le projet du Palais des Etoiles - par la suite mis en scène par notre bien-aimé promoteur Giancarlo – l'a, globalement, plutôt bien  réussi. Globalement.
Car, dans le détail, certaines choses sont, comment dire, surprenantes...
Privilégiant l’esthétique à l’utile, il a, par exemple, « oublié » de prévoir un accès indépendant au jardinet situé côté Maison de Retraite.
Il a donc fallu compter récemment sur la gentillesse et la disponibilité des résidents de l’appartement d’angle situé en Rez de Jardin (M. et Mme Faye) pour permettre aux jardiniers d’accéder à ce jardinet et procéder à un entretien qui n’était certes pas superflu ! Le dernier remontait à plus de deux ans. La première année, l’entreprise alors en charge de notre copropriété – et qui nous coûtait une fortune – y avait accédé une fois au moyen de plusieurs échelles en escaladant le mur situé le long du trottoir de la rue du Moulin. Un accident aurait pu nous coûter très cher.
On fera également grâce à notre architecte de l’enclos situé dans le prolongement du portail, impasse du Moulin. Les copropriétaires arrivés bien après  la livraison de l’immeuble fin mai 2015 doivent certainement se demander à quoi il sert.
La finalité (théorique) était d’y entreposer nos containers à ordures que la benne serait venue vider en s’engageant dans l’impasse. Nonobstant le fait que la largeur de l’impasse était probablement insuffisante, il fallait être un doux rêveur pour penser que le conducteur de la benne allait ainsi faire de délicates manoeuvres, qui plus est sur une voie privée !
Les poubelles sont donc amenées par le personnel d’Atout Net à l’angle de la rue du Moulin… et le local ne sert à rien, sinon à permettre à certaines personnes d’y soulager un besoin pressant ou griller une cigarette de tabac ou d’une autre substance. 
Un petit plot intérieur a également facilité, la première année, le passage de quelques jeunes désireux de profiter de notre piscine. Il en résulta, notamment, une fin d’après-midi de juillet « difficile » dont Dominique Desmet et son épouse furent des acteurs efficaces face à 5 ou 6 adolescents très déterminés.
Mais où notre architecte s’est surpassé, c’est dans la conception du réseau d’arrosage. 
Sont concernés la pelouse située au pied du grand mur de l’immeuble voisin côté Impasse, le micro-jardin dans le prolongement de la piscine, la haie longeant le chemin d’accès du Rez de Jardin, les quelques plantes situées sur le dessus de l’aqueduc, la haie bordant la piscine et enfin le jardinet Est côté Maison de Retraite. L’arrosage des jardins privatifs est raccordé sur le réseau interne de chaque copropriétaire.
Comme raconté dans de précédents épisodes, ce réseau aurait dû être conçu de façon uniforme et indépendante comme prévu dans le descriptif de vente pour nous permettre de payer l’eau moitié-prix. Un léger oubli… Rappelons que l’eau destinée à l’arrosage est facturée 50% moins cher, bien que ce soit la même que celle utilisée pour nos besoins quotidiens.
Il a fallu en fait attendre la facture d’Orfeo en date de décembre 2016 d’un montant pharaonique de l’ordre de 9500 Euros pour s’apercevoir que ce réseau indépendant n’existait pas… . 
Quelques mois plus tard, une dérivation a été installée (visible à l’entrée des parkings du -1 à gauche) pour y remédier. Et là, grosse surprise : on a alors découvert (par hasard d’ailleurs) que le circuit dérivé ne couvrait en fait qu’une partie de l’arrosage, celle située Sud-Sud Est. L’autre partie reste desservie par l’eau payée plein tarif. En « rationnant » un peu les plantes et, aussi, à la faveur d’un hiver et d’un printemps assez pluvieux, le conseil syndical est quand même parvenu à faire nettement baisser la note.
Après une visite préliminaire, notre nouveau syndic a estimé qu’il devait être possible, à moindres frais, de relier les deux circuits d’arrosage du fait que ceux-ci transitent par le local piscine.
Une réunion a donc eu lieu dans le courant de la semaine avec un plombier pour déterminer les travaux à réaliser.
Et là, grosse, très grosse surprise : il n’y aurait pas deux mais trois circuits ! Pourquoi le conditionnel ? Parce que ce troisième circuit – qui transite également par le local Piscine - concernerait le jardinet côté Maison de Retraite auquel on n’a pas eu accès ce jour là. Il y a donc lieu de procéder à une vérification avant d’entamer les travaux.
Un rendez-vous sera pris courant septembre pour résoudre définitivement le problème.
En attendant, les jardiniers ont procédé à la vérification de tous les programmateurs commandant l’arrosage. Peu à peu, les choses rentrent dans l’ordre.

Eau chaude : Heliopac de mieux en mieux

Il n’y a toutefois pas que du négatif dans la vie de notre copropriété. Il en va ainsi de... l'eau. Encore! Mais chaude cette fois.
En théorie, le chauffage ne devrait rien coûter grâce à "Heliopac", un système utilisant l'énergie solaire. Lorsque pour diverses raisons (absence de soleil, pannes, etc...) il ne fonctionne pas, le chauffage se fait "à l'ancienne" avec l'électricité du réseau EDF.  
C'est malheureusement ce qui s'est produit les deux premières années.
Au 31 mars 2017, et suite à des dysfonctionnements à répétition, le chauffage de l'eau avait nécessité  près de 45.000 Kw/h d’électricité « normale » sur deux exercices, soit plus de 2.000 Kw/h par mois depuis la livraison de l’immeuble fin mai 2015.
Sur 2017/18, cette consommation est « tombée » à 7420 kw/h soit un peu plus de 700 Kw/h par mois.
Du 1er avril au 5 août 2018, la consommation a été de 1300 kw/h, soit un  peu plus de 300 kw/h par mois.
De quoi faire de substantielles économies sur la facture électrique !

vendredi 3 août 2018

Réfection du Jardinet: promesse tenue !

Lors de l'Assemblée Générale (voir ci-dessous), le Conseil Syndical avait annoncé la réfection du jardinet de l’entrée. Ce n'était vraiment pas un luxe tant ce jardinet était dans un état pitoyable qui impactait évidemment le standing de l'immeuble.
La promesse a été tenue moins d'un mois plus tard.
Comme prévu, Carla Ciminaghi a amené dans ses "bagages" les plantes grasses  dont elle a un véritable "élevage" chez elle au bord du Lac de Côme.
Avant...
Mercredi 1er août, le terreau (240 litres) et les galets blancs (200 Kgs) ont été achetés chez Weldom où le Cabinet Cerruti bénéficie d'une remise de 10%. Dépense: moins de 200 Euros.
En fin de journée (il n'était guère possible d'intervenir avant en raison du soleil et de la chaleur!), toutes les anciennes plantes ont été arrachées et le sol copieusement arrosé.
Jeudi à la première heure (8H30... Carla avait proposé 5H30 mais elle n'a pas vraiment trouvé de volontaires), l'équipe s'est mise au travail sous la conduite de Carla promue paysagiste décoratrice.
Un peu plus de deux heures plus tard, le nouveau jardinet était terminé. Il subira certainement quelques petits aménagements ultérieurement car Carla compte apporter quelques plantes encore plus grosses. L'aspect esthétique est évidemment important mais l'autre finalité reste quand même d'éloigner les chiens que des propriétaires inciviques laissent faire leurs besoins aussi bien autour du jardinet qu'à l'intérieur. 
On va maintenant surveiller l'évolution des plantes dans leur nouveau cadre de vie. Avec le chaud soleil qui baigne l'endroit l'après-midi, tout devrait bien se passer.
Un bon coup de Karchër a également
 été passé afin de bien nettoyer les abords.

Carla entourée de Maurizio et Michel
Au final, cette rénovation n'aura fait qu'une seule victime: une brave salamandre jusqu'alors blottie sous les feuilles et qui a été chassée sans ménagement. Des témoins dignes de foi assurent l'avoir vue traverser la rue son baluchon sur le dos en maugréant. Abus de rosé peut-être???
Les préparatifs
Un grand merci à Carla, évidemment, à son époux Maurizio, à Patrick Megevand et M. Faye qui sont venus donner un coup de mains aux membres du Conseil Syndical, Michel et Lucien (Cindy étant évidemment dispensée pour cause de maternité).
Et un grand merci aussi à Gwendoline et Cyril qui, non contents de nous fournir une pelle et une pioche, en ont fait cadeau à la copropriété.



AG: le bilan du Conseil Syndical

Lors de l'Assemblée Générale annuelle, le Conseil Syndical a présenté son bilan d'activités au cours de l'année écoulée.


Le Palais des Etoiles est en train de battre des records : trois assemblées générales en huit mois !
Nous avions tenu l’AG ordinaire clôturant l’exercice 2016/17 le 8 novembre 2017. Un mois et demi plus tard nous tenions une AG extraordinaire avec pour unique question la nomination d’un nouveau syndic. Nous tenons donc aujourd’hui l’AG ordinaire clôturant l’exercice 2017/18. Vous vous souvenez que le Conseil Syndical avait vivement déploré l’éloignement constaté entre la fin de l’exercice le 31 mars et l’AG survenant 7 mois plus tard. La diminution du délai avait été l’une des conditions principales imposées au Cabinet Cerutti. Mission accomplie dans un contexte pourtant difficile puisque le nouveau Syndic n’a pu se mettre au travail que début février après récupération de l’ensemble du dossier. De plus, le travail comptable a porté sur trois exercices. Il ne pouvait être question de revenir sur le bilan 2015/16 mais celui-ci a été pris en compte dans plusieurs dossiers, notamment les dépenses pour l’eau chaude et les énergies thermiques (chauffage-climatisation).
Le conseil syndical avait maintes fois dénoncé le prix de revient de l’eau chaude et pas seulement parce que le système solaire Heliopac ne fonctionnait pas parfaitement. L’ancien syndic n’avait jamais voulu l’entendre. Au bout du compte, nous avons récupéré la coquette somme de 5753,60 Euros  sur les deux premiers exercices.
Du même coup, le bilan 2016/17  s’élève à 50595,56 Euros contre 55605,02 Euros pour TVI. Les plus observateurs d’entre vous vont s’écrier : le chiffre n’est pas le même que celui annoncé par le Syndic. C’est exact. Il y a une différence de 2794,77 Euros, montant des travaux de pose de trois vigiks mais ceux-ci ont fait l’objet d’un appel de fonds exceptionnel et n’entrent donc pas directement en ligne de compte dans le bilan. Bien entendu, nos paiements ont également été pris en compte au chapitre des recettes. Il s’agit là d’une finesse comptable que vous ne pouvez pas comprendre. Moi non plus d’ailleurs. Le comptable n’est pas un être humain comme les autres ! En fait, je suis de très mauvaise foi car ce système a permis de récupérer un peu moins de 400 Euros. De façon fort étonnante, la facture a en effet été inférieure au devis. Je n’en dirai pas plus.
Au bout de trois exercices, la physionomie générale de la comptabilité de la copropriété commence à se dessiner de façon précise.
Il est évident que le premier exercice avait été largement sous-estimé mais on ne saurait en vouloir à l’ancien syndic car on partait dans l’inconnu. A vrai dire, la différence de 5.000 Euros sur le deuxième bilan entre TVI et Cerutti (55600 pour l’un, 50600 pour l’autre) provient essentiellement de la facturation de l’eau chaude qui avait été largement surévaluée.
Inversement, la facturation des énergies thermiques avait été largement sous-évaluée.
Les choses sont désormais en place. Par exemple, les dépenses d’énergies thermiques se situent dans une fourchette assez semblable, 4567 Euros pour 2016/17, 5847 pour 2017/18. L’augmentation est facilement explicable par l’arrivée de nouveaux occupants et un hiver assez froid avec la neige.
Pour l’eau chaude, 3517 Euros en 2016/17, 3379 pour 2017/18. Le système Heliopac fonctionne désormais correctement et cela s’est ressenti sur la facture globale de l’électricité en baisse sensible d’environ 2500 Euros.
Globalement, le bilan 2017/18 aux alentours de 55.000 Euros sera – sauf catastrophe – la référence pour les années à venir. Il sera certainement difficile, voire impossible, de le faire beaucoup baisser en raison de dépenses incompressibles. Les différents contrats de maintenance (production d’eau chaude, chauffage climatisation, Piscine, ascenseur, portail, etc…) et de services (entretien de l’immeuble, espaces verts) sans oublier les assurances et le syndic représentent quasiment la moitié des dépenses.
Après, il y a les « imprévus », gros comme une canalisation bouchée ou la rupture de la résistance de l’un des ballons d’eau chaude, petits comme une installation de vigik démontée, le vomi dans l’ascenseur, la commande de la porte d’entrée, etc…. Rapportées à chaque copropriétaire, les dépenses ne représentent que quelques euros mais un euro par çi, un euro par là, cela finit par peser lourd.
Au chapitre des économies, on pourrait notamment parler du nettoyage de la plage de la piscine, nettoyage nécessaire après trois années d’utilisation sous peine de voir le bois se dégrader. Nous avions fait faire des devis. Il y en avait autour de 5.000 Euros. Le travail aurait certainement été mieux réalisé mais nous avons préféré le faire nous-mêmes avec ses imperfections.
Prochaine réalisation : la réfection du jardinet de l’entrée. La main d’œuvre sera à nouveau gratuite tout comme les plantes grasses  fournies par Carla Ciminaghi qui a un élevage chez elle. Ce n’est pas pour rien que l’on affirme que Carla est une femme piquante…
Merci de votre attention.

Notons encore que le conseil syndical sortant a été reconduit avec Mmes Ciminaghi et Lazarus-Partouche, MM. Platano et Sparagna.