Jean-Paul G.,l’architecte qui a conçu le
projet du Palais des Etoiles - par la suite mis en scène par notre bien-aimé promoteur Giancarlo – l'a, globalement, plutôt bien réussi. Globalement.
Car, dans le détail, certaines choses sont, comment dire, surprenantes...
Privilégiant l’esthétique à l’utile, il a, par exemple,
« oublié » de prévoir un accès indépendant au jardinet situé côté
Maison de Retraite.
Il a donc fallu compter récemment sur la gentillesse et la
disponibilité des résidents de l’appartement d’angle situé en Rez de Jardin (M.
et Mme Faye) pour permettre aux jardiniers d’accéder à ce jardinet et procéder
à un entretien qui n’était certes pas superflu ! Le dernier remontait à
plus de deux ans. La première année, l’entreprise alors en charge de notre
copropriété – et qui nous coûtait une fortune – y avait accédé une fois au
moyen de plusieurs échelles en escaladant le mur situé le long du trottoir de
la rue du Moulin. Un accident aurait pu nous coûter très cher.
On fera également grâce à notre architecte de l’enclos situé
dans le prolongement du portail, impasse du Moulin. Les copropriétaires arrivés
bien après la livraison de l’immeuble fin
mai 2015 doivent certainement se demander à quoi il sert.
La finalité (théorique) était d’y entreposer nos containers
à ordures que la benne serait venue vider en s’engageant dans l’impasse. Nonobstant
le fait que la largeur de l’impasse était probablement insuffisante, il fallait
être un doux rêveur pour penser que le conducteur de la benne allait ainsi
faire de délicates manoeuvres, qui plus est sur une voie
privée !
Les poubelles sont donc amenées par le personnel d’Atout Net
à l’angle de la rue du Moulin… et le local ne sert à rien, sinon à permettre à
certaines personnes d’y soulager un besoin pressant ou griller une cigarette de
tabac ou d’une autre substance.
Un petit plot intérieur a également facilité,
la première année, le passage de quelques jeunes désireux de profiter de notre
piscine. Il en résulta, notamment, une fin d’après-midi de juillet « difficile »
dont Dominique Desmet et son épouse furent des acteurs efficaces face à 5 ou 6
adolescents très déterminés.
Mais où notre architecte s’est surpassé, c’est dans la
conception du réseau d’arrosage.
Sont concernés la pelouse située au pied du
grand mur de l’immeuble voisin côté Impasse, le micro-jardin dans le
prolongement de la piscine, la haie longeant le chemin d’accès du Rez de
Jardin, les quelques plantes situées sur le dessus de l’aqueduc, la haie
bordant la piscine et enfin le jardinet Est côté Maison de Retraite. L’arrosage
des jardins privatifs est raccordé sur le réseau interne de chaque
copropriétaire.
Comme raconté dans de précédents épisodes, ce réseau aurait
dû être conçu de façon uniforme et indépendante comme prévu dans le descriptif de vente pour nous permettre de payer
l’eau moitié-prix. Un léger oubli… Rappelons que l’eau destinée à l’arrosage est
facturée 50% moins cher, bien que ce soit la même que celle utilisée pour nos
besoins quotidiens.
Il a fallu en fait attendre la facture d’Orfeo en date de
décembre 2016 d’un montant pharaonique de l’ordre de 9500 Euros pour s’apercevoir que ce
réseau indépendant n’existait pas… .
Quelques mois plus tard, une dérivation a été installée
(visible à l’entrée des parkings du -1 à gauche) pour y remédier. Et là, grosse
surprise : on a alors découvert (par hasard d’ailleurs) que le circuit
dérivé ne couvrait en fait qu’une partie de l’arrosage, celle située Sud-Sud Est. L’autre partie reste desservie par l’eau payée plein tarif. En
« rationnant » un peu les plantes et, aussi, à la faveur d’un hiver
et d’un printemps assez pluvieux, le conseil syndical est quand même parvenu à faire
nettement baisser la note.
Après une visite préliminaire, notre nouveau syndic a estimé
qu’il devait être possible, à moindres frais, de relier les deux circuits
d’arrosage du fait que ceux-ci transitent par le local piscine.
Une réunion a donc eu lieu dans le courant de la semaine
avec un plombier pour déterminer les travaux à réaliser.
Et là, grosse, très grosse surprise : il n’y aurait pas
deux mais trois circuits ! Pourquoi le conditionnel ? Parce que ce
troisième circuit – qui transite également par le local Piscine - concernerait
le jardinet côté Maison de Retraite auquel on n’a pas eu accès ce jour là. Il y
a donc lieu de procéder à une vérification avant d’entamer les travaux.
Un rendez-vous sera pris courant septembre pour résoudre
définitivement le problème.
En attendant, les jardiniers ont procédé à la vérification
de tous les programmateurs commandant l’arrosage. Peu à peu, les choses
rentrent dans l’ordre.
Eau chaude : Heliopac de mieux en mieux
Il n’y a toutefois pas que du négatif dans la vie de notre copropriété. Il en va ainsi de... l'eau. Encore! Mais chaude cette fois.En théorie, le chauffage ne devrait rien coûter grâce à "Heliopac", un système utilisant l'énergie solaire. Lorsque pour diverses raisons (absence de soleil, pannes, etc...) il ne fonctionne pas, le chauffage se fait "à l'ancienne" avec l'électricité du réseau EDF.
C'est malheureusement ce qui s'est produit les deux premières années.
Au 31 mars 2017, et suite à des dysfonctionnements à répétition, le chauffage de l'eau avait
nécessité près de 45.000 Kw/h d’électricité
« normale » sur deux exercices, soit plus de 2.000 Kw/h par mois depuis la livraison de l’immeuble fin mai 2015.
Sur 2017/18, cette consommation est « tombée » à
7420 kw/h soit un peu plus de 700 Kw/h
par mois.
Du 1er avril au 5 août 2018, la consommation a
été de 1300 kw/h, soit un peu plus de 300
kw/h par mois.
De quoi faire de substantielles économies sur la facture
électrique !



